

Le Conseil d’Information et de Suivi des Actions du Gouvernemtent ( CISAG ) par le biais de son président s’est prononcé sur la tenue du dialogue politique entre majorité et opposition .
Pour le Conseil il était impératif que ces deux entités puisse se réunir car dit-il ‹‹ c’est le thermomètre pour juger de la bonne santé de notre démocratie ,et aussi de la preuve de l’existence d’un cadre de concertation permanent entre opposition et majorité ,afin de résoudre les problèmes urgents qui peuvent être domageable pour notre démocratie.››
Le Conseil dit avoir suivi de prêt les revendications de l’opposition dont la démission du premier ministre avant de continuer tout dialogue et aussi les critiques qu’elle a formulé à l’encontre du gouvernement surtout la question sécuritaire ,avec en toile de fond le drame de solhan qui a endeuillé toute la nation .
Pour le Conseil ‹‹ l’heure n’est pas aux accusations ›› plutôt a l’unité des burkinabè afin de bouter ce phénomène hors de nos frontières.
‹‹ Nos forces de défenses et de Sécurités travaillent jours et nuits pour que les burkinabè dorment en paix. Nous sommes dans une guère asymétrique comme nous le reconnaissons tous,ce qui veut dire que les règles du jeu ne sont pas les mêmes et aussi nous sommes attaqués que par nos frères burkinabè ,qui ont choisi le camp de la violence que du dialogue.››
Selon Issiaka OUEDRAOGO, il faut reconnaître la montée en puissance de nos armées dans ces temps ci.
‹‹ Reconnaissons que depuis 2015 début des attaques où notre armée était étrangère a ces genres de guère s’est aujourd’hui aguerries et fait des résultats bien connus de tous,et aussi avec l’acquisition de matériels adéquat qui les permet de mieux se défendre et défendre leur patrie. Tout ne peut pas être parfait à notre avis en un clin d’œil. Nous devons éviter les critiques démagogiques et travailler à l’unisson, veiller à ce que les troupes ne se découragent pas de nos déclarations qui les mettent mal à l’aise. ››
Se prononçant sur la demande de démission du premier ministre par l’opposition ,le CISAG dit partager le même avis mais pas un préalable avant toute discussion comme le souhaite l’opposition .
‹‹ Je suis d’accord que le chef de l’état fasse un nettoyage sérieux dans son gouvernement qui pour nous est aujourd’hui plus critiqué par le comportement de certains ministres qui ne l’honorent pas par leurs comportements irresponsables. Mais de là à faire une condition avant de poursuivre le dialogue politique est pour moi trop demander au chef de l’état, c’est comme si l’opposition veut se substituer à la majorité alors que non, le dialogue politique est un cadre de concertation entre l’ opposition et la majorité et non gouvernement opposition .Il y ‘a une nuance a ce niveau.›› clarifie M.OUEDRAOGO .
Issiaka OUEDRAOGO conclut qu’il faut reprendre le dialogue politique ,en mettant les problèmes sérieux et les objectifs sur la table à débat ,et faire des propositions au chef de l’État pour que celui ci prenne ses responsabilités au vue de tous les maux qui minent le quotidien des burkinabè.
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