Le Parti pour la Démocratie et le Changement ( PDC ) vit ces derniers jours des situations difficiles de son existence .En effet ,après la vague démission en septembre dernier de plusieurs de ses militants ,aujourd’hui c’est le tour de la ministre déléguée de l’artisanat ,Louise Anne Go 9e vice-président du parti de rendre le tablier .‹‹ J’ai le regret de vous annoncer ma démission du parti et toutes ses instances de décision pour compter de ce 31 octobre pour convenances personnelles.›› s’adresse-t-elle au président du parti Abdel Aziz SEREME dans une corespondance . Cette démission intervient après l’annonce du retrait du parti de la majorité et du gouvernement par Abdel Aziz SEREMÉ ,président .
Abdoul OUEDRAOGO ,candidat dans la catégorie secteur informel de la région du Centre était face à ses militants en cette soirée du samedi 30 octobre pour leur présenter son programme d’activités.
Le candidat Abdoul Bassirou OUEDRAOGO entouré de ses militants
‹‹ Nous voulons sauver le commerce burkinabè surtout le secteur informel .Les commerçants souffrent. Si nous sommes élus nous allons faire renaître le secteur informel .›› pomet-il Pour rappel les élections sont prévues pour le 16 novembre prochain .
Cinq policiers ont été tués tôt dimanche dans la matinée, dans l’attaque du commissariat de Dî dans le Sourou.Un véhicule et huit motos ont été emportés par les agresseurs, d’après nos sources.
Le Premier ministre, Christophe Joseph Marie Dabiré, a assisté ce samedi 30 octobre 2021, à la nuit d’hommage organisée en l’honneur des forces de défense et de sécurité (FDS), dans le cadre de la célébration du 61e anniversaire de la création de notre armée nationale. Cette cérémonie a été surtout marquée par la prestation d’artistes, militaires comme civils, qui ont égayé le public, à travers notamment des chants patriotiques, destinés à soutenir et encourager les soldats engagés dans la lutte contre le terrorisme.
Le premier ministre Christophe DABIRÉ s’adressant aux FDS
Le Chef du Gouvernement a salué à l’occasion, la mémoire de toutes les personnes civiles et militaires, tombées dans le combat contre les forces du mal. Il a par ailleurs souligné que le président du Faso et le Gouvernement, poursuivront les efforts visant à créer les conditions susceptibles de renforcer les capacités opérationnelles de nos unités sur le terrain.
Dans le combat contre l’insécurité qui sévit dans notre pays depuis six ans, les forces de défense et de sécurité sont en première ligne. Dans le cadre de la célébration du 61e anniversaire de la création de notre armée nationale, la hiérarchie militaire a tenu cette année, à organiser une soirée, pour rendre hommage à ces vaillants soldats, qui vont jusqu’au sacrifice suprême, pour que notre pays continue d’exister.
Ce samedi 30 octobre 2021, le Chef du Gouvernement, Christophe Joseph Marie Dabiré, a pris part à cette nuit d’hommage aux FDS. Elle a réuni autour du Premier ministre, des présidents d’institutions, des membres du Gouvernement, des représentants de pays amis du Burkina Faso, des officiers supérieurs, des sous-officiers et des hommes du rang de notre armée. Des associations de soutien aux FDS, des parents de militaires, des orphelins de soldats tombés au front, et de nombreux artistes, étaient aussi présents au Mess des officiers de Ouagadougou.
Prestation d’artistes issus des rangs des FDS .
Ce sont d’ailleurs les artistes, qui ont occupé la plus grande partie du temps qu’a duré la Nuit d’hommage. Devant le nombreux public, ils ont entonné, pendant environ trois heures, des chants, composés spécialement pour soutenir et encourager les FDS et magnifier la paix.
Au nom du Président du Faso, Chef suprême des armées, Christophe Joseph Marie Dabiré a tout d’abord, salué la mémoire des soldats tombés sur le champ d’honneur, dans la lutte contre le terrorisme. “J’associe à cet hommage, les volontaires pour la défense de la patrie (VDP) et toutes les populations civiles brutalement arrachées à l’affection des leurs, par la barbarie terroriste”, a-t-il ajouté.
Pour le Chef du Gouvernement, les moments difficiles que traversent les Burkinabè, nous rappellent les résistances opiniâtres que nos aïeux ont opposées aux conquérants étrangers venus les soumettre. “L’épreuve de ces résistances est riche d’enseignements : il ne faut jamais accepter de compromis avec l’occupant étranger qui vient imposer impitoyablement sa loi. Cette séquence de notre histoire devrait inspirer la génération d’aujourd’hui, la nôtre, afin de prouver que nous sommes les dignes descendants de ces aïeux viscéralement attachés à la défense de la patrie et de la liberté”, a-t-il estimé.
Il a salué la ténacité des FDS et leurs supplétifs, les VDP, qui ont su opposer une résistance farouche aux terroristes, repoussant de nombreuses attaques et porter de sérieux coups à l’ennemi. “Vous avez donné votre vie en cherchant à protéger des hommes, des femmes et des enfants désarmés contre des meurtriers, des voleurs et des bandits déguisés en fanatiques. Vous vous êtes battus pour défendre des valeurs, et la meilleure manière de vous rendre hommage, c’est d’abord de poursuivre la lutte jusqu’à la victoire finale”, a soutenu Christophe Joseph Marie Dabiré.
Il a également rendu hommage et témoigné sa reconnaissance à tous les agents des administrations publiques et privées, notamment les enseignants, les agents de santé, des eaux et forêts, de l’action sociale, de l’agriculture, des ONG et Associations de développement, enlevés ou tombés dans leur combat quotidien pour assurer la continuité de l’Etat et le bien-être des populations sur l’ensemble du territoire, malgré l’adversité.
Par ailleurs, le Premier ministre a rassuré les FDS, en leur disant qu’ils ne sont pas seuls dans cette guerre contre l’ennemi. “Vous avez le peuple entier qui vibre à l’unisson avec vous. Vous êtes en première ligne du combat, mais derrière, vous bénéficiez davantage du soutien de la Nation dans toutes ses composantes.
Il a enfin salué l’ensemble des partenaires qui soutiennent notre pays dans ce combat, et invité les populations à une franche collaboration et à un véritable engagement à défendre la patrie.
“Au bout de cette guerre qui nous est imposée et qui sera peut-être longue, j’ai la ferme conviction que notre Nation sortira victorieuse”, a conclu Christophe Dabiré.
Il faut noter que la nuit d’hommage aux FDS, a été l’occasion pour le ministère en charge de l’Action sociale et de la Solidarité nationale, d’offrir aux familles des soldats tombés au front, 40 tonnes de vivres. Le ministère de la Défense nationale et des Anciens combattants, a quant à lui fait un don de 05 millions de FCFA aux VDP.
Le premier responsable de ce département ministériel, le général Aimé Barthélémy Simporé, a expliqué que la soirée d’hommage est la concrétistion d’une orientation reçue du Chef de l’Etat, Roch Marc Christian Kaboré, ainsi que du Premier ministre. L’objectif, selon le ministre en charge de la Défense, c’est de faire en sorte que cette année, la nation entière rende hommage à ceux qui, depuis le 15 avril 2015, se battent corps et âme, au prix parfois du sacrifice suprême, pour défendre notre patrie.
Il a particulièrement remercié les artistes, qui soutiennent la lutte, depuis le début de la crise sécuritaire, par des chants patriotiques.
La célébration du 61e anniversaire de la création de l’armée burkinabè, est placée cette année sous le thème : « 61 ans au service de la défense de la patrie : tous ensemble pour un vibrant hommage aux Forces Armées Nationales et un engagement décisif pour vaincre le terrorisme ».
Ce samedi 30 octobre vers 11h21mn, une escorte des Forces Armées Maliennes du détachement de Mourdiah est tombée dans une embuscade aux environs de la localité de Madina Sylla indique l’armée .Le bilan provisoire est de 02 morts et 03 blessés. Les blessés ont tous été évacués sur Mourdiah. La même source ajoute qu’un véhicule pick-up d’une patrouille FAMa a été aussi victime d’une attaque à l’Engin Explosif Improvisé (EEI), localité Segou ( Niendjela ) . Les occupants du véhicule au nombre de 05 ont tous succombé.Le ratissage dans la zone de l’incident a permis l’interpellation de 02 suspects immédiatement mis à la disposition de la gendarmerie.
A la tête d’une délégation composée de ses plus proches collaborateurs, le Général de Brigade Gilbert OUEDRAOGO, Chef d’Etat-Major Général des Armées (CEMGA) a rendu une visite de courtoisie à sa Majesté le Mogho Naaba le vendredi 29 octobre 2021. Reconnaissant à l’endroit de l’Empereur des Mossé pour ses efforts dans la recherche de la paix et de la cohésion sociale, le CEMGA a sollicité auprès de lui des bénédictions. Satisfait de cette visite, le Mogho Naaba a salué l’engagement des FAN dans la lutte contre le terrorisme et encouragé le CEMGA et sa suite à poursuivre leurs missions. Enfin il a formulé des bénédictions à l’endroit des Forces Armées Nationales.
L’Alliance des Fournisseurs Burkinabè de Biens et Services Miniers « ABSM ›› était face à la presse le jeudi 28 octobre .Objet faire le bilan de ses activités .
Le Présidium
Selon Yves ZONGO ,président de l’Alliance ,plusieurs actions ont été menées par l’Alliance depuis sa création .Parmi tant d’autres il cite leurs participations avec autres acteurs au plaidoyer pour la prise en compte du contenu local dans le code minier de 2015 .Un plaidoyer qui a trouvé satisfaction selon Yves ZONGO car en conseil des ministres du 22 septembre le gouvernement a adopté un rapport relatif à un décret portant fixation de conditions de la fourniture locale dans le secteur minier .Un décret qui vise à promouvoir la fourniture locale de biens et services miniers, de faciliter le transfert des compétences et de technologies au profit des nationaux . Également l’ABSM a mis à la disposition des acteurs du secteur minier (ONG, Cabinet d’études, sociétés minières, entreprises fournisseurs des mines, Ministères, etc.) toutes les informations dont elle disposait en matière d’approvisionnement local. Créée officiellement le 19 janvier 2012, l’Alliance des Fournisseurs Burkinabè de Biens et Services Miniers « ABSM » est un regroupement d’opérateurs économiques fournissant des biens et services au secteur minier.
Elle œuvre pour la promotion de la fourniture locale de biens et services aux mines, par la professionnalisation des fournisseurs locaux, l’amélioration de l’environnement et dans la collaboration avec tous les acteurs concernés .‹‹L’ABSM œuvre au renforcement des capacités des fournisseurs burkinabés à travers la réalisation d’actions d’information, de formation et de sensibilisation, la mise en relation d’affaires, le plaidoyer et la participation aux différents cadres d’échanges en lien avec le contenu local au niveau national, sous régional et international.›› a indiqué Yves ZONGO . Aujourd’hui l’Alliance compte une centaine de membres .
La toiture du fétiche « Tôtoye » ou « l’autel de la fertilité et du mariage » de ORODARA a été incendiée dimanche nuit par un inconnu rapporte nos confrères de l’AIB . Les populations ont informé la gendarmerie pour faire un constat . « Nous n’allons pas nous laisser faire. Certes, nous avons informé la sécurité notamment la gendarmerie pour le constat et les besoins de l’enquête mais au niveau des coutumiers nous verrons d’ici là ce que nous allons faire pour retrouver l’auteur de cette forfaiture », a déclaré le porte-parole des coutumiers, Yacouba Coulibaly.
La Société Burkinabè de Télédiffusion (SBT) informe les téléspectateurs des chaînes de la TNT qu’elle procèdera à la coupure des programmes des chaînes de télévision qui ne sont pas à jour du paiement de la redevance de diffusion le lundi 1er novembre 2021 à zéro heure.
Par conséquent, la diffusion des programmes concernés sera interrompue dans le bouquet de la TNT.
Ceci est une lettre ouverte des évêques du Burkina au ministre de la Santé Charlemagne OUEDRAOGO .
Depuis quelques jours circule dans les réseaux sociaux un audio qui rapporte vos propos sur une conférence de presse tenue par la Commission Episcopale de la Pastorale de la Santé. Cette conférence de presse présentait un livre écrit par des experts catholiques sous la responsabilité de ladite Commission. L’activité citée n’avait pas le but, ni dans son fond ni dans sa forme, de s’opposer au Ministre de la Santé que vous êtes, encore moins de saper la politique de santé publique de notre pays. Nous avons voulu seulement éveiller la conscience de nos fidèles et des personnes de bonne volonté sur les inconvénients qui échappent souvent dans l’information donnée alors que toutes ces méthodes ne sont pas toujours sans danger. Nous pensons que l’information doit toujours être la plus complète possible. D’où d’ailleurs ce titre de la plaquette dont la publication a donné lieu à ladite conférence presse : « LES DANGERS POUR LA SANTE DES METHODES CONTRACEPTIVES : Une approche scientifique de la question ». Notre conférence de presse semble vous avoir mis dans un état tel que vous avez cru devoir proférer les paroles véhiculées par l’audio et qui ont surpris plus d’un et laissé perplexes et songeurs beaucoup d’autres, même en dehors du monde catholique.
Par la présente, nous venons vous dire notre indignation par rapport à de tels propos que nous estimons injustes, voire erronés, tout en vous assurant que l’Eglise Catholique ne recherche nullement l’affrontement avec qui que ce soit. Elle met toutes ses forces et ses énergies au service de tout l’homme et de tout homme sans regarder au prix, surtout en ces temps de crise sécuritaire et sanitaire.
Certes, depuis que l’incident a eu lieu, vous avez accepté de recevoir Mgr Justin KIENTEGA, Evêque de Ouahigouya et Président de la Commission Episcopale de la Santé, puis, récemment, Son Eminence le Cardinal Philippe OUEDRAOGO, Archevêque Métropolitain de Ouagadougou, vous a reçu en audience. Nous louons ces efforts fournis pour réparer un dérapage grave ; mais il faut accepter que des déclarations en cercle restreint, qui contredisent les déclarations publiques, laissent perplexes sur la sincérité des secondes, et ne réparent pas les blessures des déclarations publiques. Cela a conduit Son Eminence à prendre ses distances par rapport à l’article publié par la Direction de la Communication et de la Presse Ministérielle (DCPM) du ministère de la santé sur son site web, en date du 24 octobre 2021. Bien entendu, la Conférence Episcopale Burkina-Niger qui s’adresse à vous ici ne veut guère faire passer un Ministre de notre pays sous les fourches caudines ; il appartient donc à votre sagesse et à votre sens de la responsabilité de vous engager honnêtement et suffisamment pour un apaisement des cœurs et des esprits.
Cela dit, à travers les paroles que vous avez prononcées, dont nous déplorons le ton tantôt léger, tantôt vulgaire, tantôt belliqueux, menaçant et irrespectueux, vous abordez cependant des thèmes importants qui nous intéressent nous aussi et méritent d’être approfondis sereinement pour promouvoir un vivre-ensemble pacifique et fructueux dans notre pays.
La laïcité. C’est un concept et une pratique à ne pas considérer comme un prêt-à-porter venu d’un lointain pays. Il s’agit plus d’un beau Faso Dan Fani fait du coton bio produit dans notre savane ensoleillée et patiemment tissé à la quenouille. La laïcité au Burkina Faso sera faite des multiples fils de nos valeurs authentiques ou alors elle nous encombrera, nous mettra fréquemment en conflit et ne nous mènera nulle part. Monsieur le Ministre, laissez-nous vous dire que dans un État laïc, la parole de l’Autorité publique n’enlève aucunement aux citoyens le droit de s’exprimer, de dire ce qu’ils pensent, qu’ils soient religieux ou pas ! Notre État, à ce que nous sachions, n’est pas une dictature ni une citadelle de la pensée unique.Voilà pourquoi, pour être plus complet, nous suggérons bien humblement de parler d’un Etat laïc et démocratique. Car la laïcité se conjugue avec la démocratie, la subsidiarité, la liberté d’expression et la liberté de religion dans le respect du droit et de la morale (bonnes mœurs). Elle requiert de l’État qu’il se tienne à égale distance de toutes les religions. Notre pays s’est engagé à donner un contenu propre à la laïcité et l’Église Catholique participe à ce chantier aux côtés d’autres religions et institutions.
Les conventions de l’Église avec l’État et les implications financières. Ce type d’instrument existe dans tous les pays du monde pour promouvoir la collaboration entre l’État et une diversité de partenaires privés dans des secteurs surtout sociaux que l’État arrive rarement à couvrir. Tout le monde le sait, il s’agit de coopérer au bien des populations, surtout les plus pauvres. En conséquence, les exonérations ne sont guère une faveur faite à l’Église mais un service rendu aux populations vulnérables. Cela dit, aucune subvention ne peut conditionner l’Eglise dans ses prises de position en conformité avec sa doctrine qu’elle ne prétend nullement imposer. Du reste, nos structures paient les impôts lorsqu’elles mènent des activités imposables suivant les lois de la République. C’est pourquoi, cela a été indécent de menacer l’Église de l’envoyer aux guichets des impôts, comme si celle-ci ne les payait pas ou se plaisait à s’y soustraire. Les impôts sont un acte de citoyenneté, de justice et de responsabilité. Il est étrange que vous en fassiez un instrument de menace publiquement proférée.
La santé sexuelle et reproductive et le dividende démographique. Voilà un sujet complexe et très controversé qui suscite des positions divergentes. Nous sommes choqués par vos prises de position difficiles à expliquer dans une logique d’éducation aux valeurs. Nous ne comprenons pas pourquoi on ne pourrait pas en débattre et mettre en garde contre les risques et inconvénients des politiques y relatives.
La santé sexuelle et reproductive en rapport à la jeunesse et aux personnes déplacées internes. En vous écoutant, votre ton a quelque chose d’irrespectueux et de méprisant pour ces personnes en grande difficulté. Votre échelle des besoins vitaux est particulière. Le bon sens et la science nous disent que l’eau, le pain et le vêtement sont plus indispensables pour la survie humaine qu’autre chose. Votre hiérarchie des besoins humains a donc quelque chose de choquant surtout quand elle est appliquée dans la situation des déplacés internes durement éprouvés et à une jeunesse en quête de repères. Dans cette logique, qu’en est-il de l’éducation aux valeurs, à la maîtrise de soi, au respect de soi et des autres ? Vous comprenez pourquoi l’Église Catholique, et, sans doute beaucoup de parents responsables et attentifs à la dimension éthique de l’éducation sexuelle, ne peuvent pas ne pas être en désaccord avec vous sur ces points susmentionnés.
Sur ces sujets, l’Église Catholique dispose d’une doctrine, d’un magistère qu’elle ne prétend pas imposer aux Autorités publiques ni à quiconque d’ailleurs. Mais elle ne peut renoncer à enseigner par tous moyens licites cette doctrine à ses fidèles et à tout homme de bonne volonté qui écoute sa voix. Monsieur le Ministre, nous pensons que l’Église Catholique peut, dans le jeu démocratique, concourir aux choix que fait notre pays et contribuer à la vérification de leur assortissement à nos valeurs africaines authentiques.
Pour conclure, nous voudrions vous assurer de nos prières et de notre disponibilité à approfondir avec vous les préoccupations que vous avez abordées dans l’audio.
Veuillez agréer, Monsieur le ministre, notre considération distinguée