
Initialement prévues prendre fin à 19h, les assises nationales sur la charte de la transition se poursuivent. Les journalistes convoqués à 18h 30 sont toujours dans l’attente. Aucune heure fixe quant à la finition des travaux ne leur a été communiquée. ‹‹Je suis là depuis 18h ,nous sommes à 20h le quart rien de concret. La communication de la présidence nous informe que l’heure initiale ne tient plus sans pour autant nous donner une heure précise ›› dénonce Jules KABORÉ journaliste à Burkina 24.
Samboe Kamboissoa Edouard journaliste a l’infoh24 assis à même le sol trouve qu’il y’a un mépris à l’endroit des journalistes. ‹‹ Aucune place pour la presse. Nous sommes là depuis près de 03 h. Même l’eau simple nous n’avons pas eu. Un minimum de respect à la presse. Nous ne demandons rien mais qu’on nous traite avec un minimum de respect. Dans ces conditions c’est eux encore qui vont dire que les médias ne font pas bien leur travail.Comment peut-on être dans de telles conditions et pouvoir bien travailler ?›› s’interroge le confrère
Pendant que nous traçons ces lignes(21h20), certains confrères journalistes ont commencé à quitter l’enceinte de la salle des conférence. Les assises sont ouvertes depuis la matinée de ce 28 février à la salle des banquets de Ouaga2000
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