Les bénéficiaires
En plus du besoin en nourritures, les personnes déplacées internes sont en manque de quoi se vêtir le plus des sous-vêtements. Cela se ressent le plus chez les jeunes filles et femmes qui sont souvent confrontées à la gestion de leurs menstrues. La passerelle Dubrüke, une organisation à but humanitaire a voulu réduire leurs souffrances en leurs faisant un don de couches hygiéniques réutilisables. La remise a lieu ce 29 octobre par le représentant de la passerelle, Daouda Sawadogo.
À l’entendre, ce geste vise à soulager ces personnes qui ont quitté leurs zones par force et se retrouve dans des conditions pas si favorable leur permettant de se procurer certains besoins élémentaires. ‹‹ Nous sommes là dans le cadre d’un de couches hygiéniques au profit de femmes PDI de Kaya. Je représente ici la passerelle Dubrüke. Il s’agit de 100 couches hygiéniques que nous avons voulu donner aux femmes qui ont été contraintes à quitter leurs zones par les groupes armés terroristes›› a-t-il dit.
Un geste que les premiers responsable du site ont trouvé très louable. Idrissa Sawadogo, chef du site n’a pas manqué de témoigner sa reconnaissance au nom des PDI aux donnateur. ‹‹ Par la voix des femmes nous vous disons merci. Que Dieu vous en donne encore pour que vous puissiez soulager ces femmes›› a-t-il souhaité.
Comme l’occasion faisant le larron, les bénéficiaires ont demandé au donnateur du jour de leur trouver des activités rémunératrices de revenus. Des doléances qu’il promet réaliser une fois de retour à leur base. ‹‹Nous avons pris notes de leurs préoccupations qui se résument à leur trouver de l’emploi mais aussi à améliorer leur cadre de vie parceque le premier responsable nous ont fait savoir qu’ils sont en manque d’eau, le liquide précieux.›› a-t-il fait savoir.
La Passerelle Dubrüke en plus d’intervenir dans l’humanitaire, initie il y a maintenant 05 ans une cérémonie de récompense qu’elle a dénommée la médaille Thomas Sankara pour l’invention et l’innovation. Et c’est chaque 05 août au mémorial Thomas Sankara.
Ibrahim Konaté, Daouda Sawadogo
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