Huit ans après la première attaque terroriste enregistrée dans le pays, le Burkina vit une crise sécuritaire sans précédent dans son histoire. La question qui préoccupe toute personne qui se donne la peine de comprendre le problème et qui est au centre de tous les débats dans l’opinion est celle-ci : Comment sortir le pays de cette insécurité croissante, de plus en plus complexe qui plombe le développement et la démocratisation du pays depuis huit ans.D’un côté, les optimistes qui disent que la situation difficile perdure à cause d’un manque de vrai diagnostic du phénomène qui ronge le pays. Ils estiment que nous pouvons encore trouver une solution idoine et ramener le pays sur le chemin de sortie de crise. Dans la recherche de solutions, un seul mal qui se traduit par le refus de se poser les vraies questions, que dis-je d’accepter les vraies réponses. Nous sommes nombreux, aujourd’hui, à toujours déplacer le problème, à ne pas s’interroger sur quoi que ce soit qui dérange notre confort intellectuel, à se laisser aller à se préoccuper de tout sauf l’essentiel. S’interroger, réfléchir sur notre situation et le dire devient même une activité criminelle aux yeux de beaucoup de Burkinabè. Pourquoi le phénomène du terrorisme persiste depuis des années ? Pourquoi il prend de l’ampleur ? Comment se fait-il que malgré les pertes en vie humaines et la désarticulation de nos rapports sociaux, les filles et fils de ce pays n’arrivent pas à s’unir pour lutter contre ce qui semble être l’annonce d’une fin de la construction de la nation burkinabè ?La situation que nous vivons peut-elle s’améliorer ? Quelles conditions doivent être remplies à cet effet ? Cet exercice d’interrogations qui doit être au centre du débat public est brocardé pour des échanges futiles sur qui a fait quoi, qui n’a pas fait quoi, qui doit dire quoi et comment le dire ?Mais attention, qu’on se comprenne et qu’on prenne le temps d’y apporter des réponses. Il ne s’agit pas, comme on l’observe, de s’organiser en masse ou en meute pour des démonstrations de force par des marches meetings, des scènes de « brûlures » de drapeaux étrangers. Non, je parle d’un exercice individuel et collectif, qui chaque fois, qu’il est exécuté dans les règles, l’honnêteté et l’amour de la patrie doit modifier notre comportement et nos actions de lutte contre le terrorisme et nous amener à saisir la gravité de la situation que nous traversons. En jetant un regard sur notre situation, il y a lieu de se poser des questions. Avons-nous le courage de nous interroger sur l’avenir de notre pays ? Combien sont-ils qui se livrent froidement à cet exercice de questionnement sans aucune influence, déni et victimisation ?Si nous regardons de près, nous constatons que nous sommes dans un pays où un régime soldatesque s’est mué en Etat de droit avec plus ou moins de succès et qui pose plus de problèmes qu’il n’en résoud. Le pays s’enlise depuis janvier 2022, malgré l’arrivée des militaires aux commandes de la guerre. Pire, chaque jour qui passe, semble nous éloigner des réponses attendues. Le comble de l’horreur fut récemment Karma, du nom de ce village qui restera à jamais gravé dans la mémoire collective. Au lieu de faire la bonne interrogation pour résoudre notre situation, nous sommes toujours occupés à allumer des foyers de conflits en indexant les autres d’être coupables de la situation. Ainsi une coalition internationale serait à l’œuvre contre l’un des pays les plus pauvres et sans aucunes Influences géostratégiques du monde. Comme si la Somalie n’est pas là pour nous rappeler que la communauté internationale peut bien continuer ses rencontres sans parler du Burkina. Il est temps de se ressaisir et se poser les vraies interrogations sur notre situation réelle. Au Burkina Faso, on n’a pas encore compris qu’une société n’est point une jungle où le plus fort impose sa loi au plus faible. Nous allons avoir une solution réelle de notre situation, le jour où nous nous poserons les vraies interrogations sur le phénomène. Qu’avons-nous fait pour ne pas en arriver là ? Que devons nous faire pour nous en sortir ? Et si la guerre est une prémisse, elle ne s’aurait être toute la solution.
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Le Rassemblement des Intelligences pour la Souveraineté de l’Afrique(RISA) s’est déployé depuis quelques jours sur l’étendue du territoire national. Cet en vue de susciter la fibre de l’engagement patriotique auprès de tous. Le vendredi 05 mai, c’est Dédougou, chef-lieu de la région de la Boucle du Mouhoun d’accueillir les « missionnaires ». La salle polyvalente de l’Université servant de lieu de la conférence a refusé du monde. Malgré sa capacité de 3000 places, la salle était pleine à craquer.

Etudiants, élèves, personnels de l’administration, notabilités coutumières et religieuse, bref tous ont marqué leur présence. A l’ordre du jour, deux thématiques étaient inscrites. Il s’agit de l’ « Engagement citoyen et construction de la Patrie » développée par Dr Boukary NEBIE, secrétaire Général du RISA et « Une jeunesse mobilisée et résiliente face à la crise sécuritaire » administrée par Serge BAYALA, membre fondateur du RISA. Les modérateurs étaient Dr Hyacinthe OUEDRAOGO, vice-coordonnateur et Adama Amadé SIGUIRE, coordonnateur, empêché ce jour.

Dans sa communication, Dr NEBIE a d’abord défini les notions de patrie et d’engagement citoyen avant d’inviter tout un chacun à être utile pour la patrie. « La patrie, c’est la terre des ancêtres ; c‘est la société politique de l’individu qui vit dans une société, dans un pays (…). L’engagement citoyen, c’est un engagement à être un citoyen normal, l’engagement pour résoudre les problèmes de sa patrie, de sa nation » fait-il savoir. Pour le conférencier Serge BAYALA qui s’est appesanti sur le thème « Une jeunesse mobilisée et résiliente face à la crise sécuritaire » n’a cessé de rappeler la responsabilité des jeunes surtout dans le contexte que traverse le pays. A l’entendre, une jeunesse consciente et mobilisée est gage de victoire contre toute forme de domination.

Le modérateur, Dr Hyacinthe OUEDRAOGO se réjouissant de la mobilisation a tenu à témoigner sa reconnaissance à la population de la cité de Bankuy. Le Rassemblement des Intelligences pour la Souveraineté de l’Afrique(RISA) est une organisation de la société civile qui a vu le jour en févier dernier. Il s’est donné pour mission la conscientisation des masses.
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Au Burkina Faso des organisations de la société civile entendent manifester ce 06 mai pour soutenir la transition sous la direction du capitaine Ibrahim Traoré. Des manifestations sur toute l’étendue du territoire nationale pour témoigner la satisfaction du peuple quant à la conduite de la transition. Depuis la journée du jeudi 04 mai, des porte charts avec des effigies du capitaine Traoré ambiancent la capitale. Des slogans contre l’impérialisme et la domination occidentale sont entonnées. Également des conférences de presse sont ténues en pompe pour annoncer l’évènement.
Contexte du metting
Ces manifestations se tiennent dans un contexte de recrudescences des attaques terroristes. En fin avril précisément le 20, plus d’une centaine de citoyens ont été massacrés à Karma, un village situé à une vingtaine de kilomètre de Ouahigouya, région du Nord. Un drame qui a choqué toute la conscience nationale. L’armée est accusée dans ce drame par la communauté internationale. Une responsabilité que le gouvernement décline. Des rencontres avec les différentes couches sociales ont été organisées par l’exécutif pour présenter la situation du pays et expliquer le nouveau mode opératoire des terroristes. Une nouvelle tactique qui se manifeste par la perfidie qui consiste à se vêtir sous la tenue de nos forces combattantes pour commettre leur forfait. Ce qui est toujours de la récurrence des attaques 33 combattants sont tombés a Ougarou à l’est du pays toujours dans le mois d’avril. Ce après le démantèlement d’une base terroriste par l’armée la semaine avant.
Le Président de la transition, le capitaine Ibrahim Traoré au cours d’un entretien le 05 mai avec la presse a rassuré la communauté internationale que le Burkina reste toujours attaché aux droits humains. Il a par la même occasion invité les populations de rester mobiliser autour des actions de la transition pour la reconquête du territoire.
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Dans un communiqué publié ce 22 avril l’État-major Général des Armées du mali annonce avoir déjoué une attaque à Sevaré. ‹‹ Les FAMa ont déjoué une attaque complexe aux environs de l’aéroport de Sevaré avec de fortes explosions et des tirs ayant perturbé la quiétude de la population à partir de 05h30 ce samedi 22 avril 2023›› peut-on lire à travers le communiqué.‹‹La situation est actuellement sous contrôle depuis les premières minutes. Les ratissages continuent›› conclut le communiqué.
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Le croissant lunaire marquant la fin du mois de Ramadan a été aperçu ce 20 Avril 2023 dans plusieurs localités selon un communiqué de la Fédération des Associations Islamiques du Burkina. Par conséquent, la fête de l’Aïd Eld Fitr sera célébrée demain 21 avril sur toute l’étendue du territoire national.
DECLARATION DE L’UAS SUR LA SITUATION NATIONALE AU BURKINA FASO
L’Unité d’Action Syndicale (UAS) s’inquiète des graves dérives qui ont cours dans notre pays se traduisant notamment par la division des Burkinabè en patriotes et ‘’apatrides’’, des menaces de mort contre des citoyens par d’autres citoyens, dérives qui viennent de bénéficier de la caution du président de la Transition.
En effet, à l’occasion de son entretien avec les forces vives de Kaya le 23 mars 2023 dans cette localité, le Capitaine Ibrahim TRAORE s’est exprimé sur l’arrestation du président du mouvement dénommé ‘’l’Appel de Kaya’’, Boukaré OUEDRAOGO. Cette arrestation, opérée sur instruction du chef de l’Etat lui-même, fait suite aux propos que l’intéressé a tenus au cours d’une conférence de presse organisée par des ressortissants de Tougouri et relative à la dégradation de la situation sécuritaire dans leur localité. Les hommes forts ont fait subir à ce jeune homme, connu pour avoir un handicap visuel, un traitement dégradant à travers la diffusion de photos et vidéo où il apparait en tenue, arme en main, s’excusant auprès du président de la Transition.
La justification apportée par le président de la Transition laisse entendre que M. OUEDRAOGO a été interpellé et recruté de force comme Volontaire pour la Défense de la Patrie (VDP) parce qu’il aurait révélé aux terroristes que le lac Dem est un point névralgique de Kaya. Selon le chef de l’Etat, c’est la divulgation de ce « secret » qui a entraîné une attaque des Hommes Armés non Identifiés (HANI) contre les unités qui sécurisent les travaux de réhabilitation des infrastructures de l’ONEA au lac Dem, faisant des morts parmi les VDP !
À l’analyse, on peut se demander en quoi cette information peut constituer un secret, surtout pour des terroristes qui contrôlent une bonne partie de la région depuis plusieurs mois, surtout quand on sait que, déjà le 15 septembre 2022, les terroristes avaient saccagé la station de production d’eau du lac Dem ! (…lobspaalga.comdu 16 septembre 2022).
Une telle accusation est grossière et cache mal une volonté de punir les critiques et les interpellations adressées au MPSR2 et au chef de l’Etat. Et pour couvrir sa forfaiture, le chef de l’Etat a fait allusion à des sollicitations que certains adressent au MPSR2 dont la non satisfaction les conduit dans l’opposition.
Ces derniers jours, l’on assiste à une recrudescence du discours de la haine contre des citoyens critiques de la gouvernance du pays et de la gestion de la situation sécuritaire et contre les médias et les journalistes. Les menaces contre le groupe Oméga médias et de nombreux journalistes qui refusent de faire les éloges du pouvoir du MPSR 2 et qui font des critiques constructives en sont des exemples patents.
La situation de guerre ne peut ni ne doit justifier la violation des principes de l’Etat de droit. Le rétablissement de la constitution à la suite du coup d’Etat et la prestation de serment devant le conseil constitutionnel imposent au pouvoir et au chef de l’Etat de respecter les droits conférés aux citoyens. Toute accusation d’atteinte à la sécurité du Burkina Faso doit être traitée par la justice. Autrement, on tombe dans l’arbitraire. La liberté d’expression ne peut être refusée aux uns tandis que les supporters du pouvoir eux, peuvent mener leurs campagnes sur les actions du président de la transition et menacer ceux qui se montrent critiques vis-à-vis de la gouvernance et de la gestion de la crise sécuritaire.
Au regard de ce qui précède, l’UAS réaffirme :
- son soutien aux soldats et officiers honnêtes, ainsi qu’aux VDP qui se battent nuit et jour contre les groupes armés terroristes, souvent au péril de leur vie ;
- sa compassion aux FDS et VDP blessés, aux Personnes Déplacées Internes ;
- ses condoléances aux familles des victimes civiles et militaires engendrées par cette guerre.
Tout en réaffirmant sa solidarité avec les populations victimes de cette guerre injuste, elle condamne les dérives des autorités en cours depuis quelque temps et exige du pouvoir : - la libération de toutes les personnes interpellées et enrôlées de force pour avoir donné leur avis sur la marche du pays ;
- le respect des droits et libertés des citoyens notamment la liberté d’expression et de la presse et le droit de se prononcer sur la gouvernance du pays ;
- l’identification et la sanction des auteurs et commanditaires des menaces et du discours de la haine contre les citoyens ;
- la prise de dispositions idoines afin d’assurer la sécurité de toutes les personnes qui font l’objet de menaces diverses.
Ouagadougou, le 19 avril 2023

Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé ce mercredi le Conseil des ministres. Selon le ministre de Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Porte-parole du Gouvernement, Jean Emmanuel OUEDRAOGO le Conseil a examiné et pris plusieurs décisions liées à la bonne conduite de la Transition.
Au titre du ministère de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, le Conseil a autorisé le recrutement de 7218 agents par concours directs et 5283 pour les #concours_professionnels session 2023. Le ministre d’Etat, ministre en charge de la fonction publique a précisé que pour les concours directs, l’accent est mis sur les secteurs prioritaires comme l’agriculture, la transformation digitale, la santé, avec un impact financier de plus de 22 milliards de francs CFA.
Une mesure importante concernant cette décision, c’est qu’à compter de cette année, les agents recevront une #formation_complémentaire de 3 mois maximum qui prend en compte « la #déontologie, la connaissance d’un certain nombre d’outils de l’Etat, mais aussi et surtout la #formation_militaire », au regard du contexte que vit le Burkina Faso.
Au titre du ministère de l’Economie, des Finances et de la Prospective, la décision prise porte sur la création d’une #contribution_spéciale sur certains produits de grande consommation pour alimenter le Fonds de soutien patriotique. L’adoption de l’avant-projet de loi y relative, selon le ministre en charge des finances, Aboubakar NACANABO, permet « de renforcer le cadre juridique de cette #taxe_spéciale qui existe déjà sur certains produits comme la boisson, la cigarette, les produits cosmétiques ».
Toujours pour le compte du ministère en charge de l’Économie, le Conseil a adopté un projet de décret relatif à l’érection du Centre de promotion de l’#aviculture villageoise en Etablissement public de l’Etat à caractère administratif. Ce changement va permettre à la structure d’être plus autonome et plus opérationnelle, a indiqué Amadou DICKO, ministre délégué chargé des Ressources animales.
Concernant le ministère de l’Energie, des Mines et des Carrières, le Conseil a examiné un projet de loi modificatif de la loi portant #code_minier au Burkina Faso en vue d’intégrer de nouvelles dispositions. Le ministre en charge des mines, Simon-Pierre BOUSSIM a précisé qu’il s’agit de modifier les articles 26 et 30 afin que le #Fonds_minier de développement local puisse soutenir le Fonds de soutien patriotique.
Au titre du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, le Conseil a adopté un décret relatif aux modalités de prise en charge financière du traitement des #cancers par la #radiothérapie au Burkina Faso. Trois catégories de patients ont été identifiées selon le ministre de la Santé, Robert Lucien Jean Claude KARGOUGOU. La première est relative aux patients disposant d’une assurance maladie pour qui l’assurance prend en charge. La deuxième concerne les cancers féminins, les cancers des enfants de moins de 15 ans, les cancers de la prostate et les personnes indigentes que l’Etat prend en charge à 100%, et enfin la troisième catégorie constituée de tous les autres pour lesquels la pris en charge de l’Etat est de 70%.
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Le Président de la Transition, le capitaine Ibrahim Traoré a procédé ce 18 Avril à la signature du décret portant mobilisation générale et mise en garde
L’écrivain burkinabè Ousmane Bissiri connu sous le nom le conférencier d’Afrique s’est entretenu avec les élèves du complexe scolaire Zoodo de Kaya ce 15 Avril.C’est autour d’un café littéraire sur son ouvrage intitulé l’Afrique et le monde : de l’Antiquité à nos jours.
Café littéraire qui a réuni plus d’une centaine de participants composés à la fois d’élèves, encadreurs, personnel de l’administration et partenaires. Après un exposé sur le livre qui est subdivisé en trois paries que sont : l’Afrique et le monde, le plagiat africain et l’humanité en perdition ; le conférencier s’est prêté aux questions des participants qui étaient aussi curieux de tout savoir.
Des interrogations qui ont porté entre autres sur la conscience historique, du système africain, du comment africaniser le système scolaire burkinabè mais aussi de la place de l’ouvrage dans la société actuelle. Durant plus d’une heure, le conférencier a apporté des réponses à ces questionnements. Des éclaircissements qui ont convaincu plus d’un du potentiel de l’écrivain.
Cette initiative a vu le jour grâce au soutien de l’association We for Women and Children qui vise à contribuer à la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale des femmes et des enfants de la rue, orphelins, victimes d’insécurités et venant de familles vulnérables.
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Son Excellence Monsieur le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a accordé une audience ce mardi matin aux quatre composantes de la classe politique burkinabè ayant pris part à l’élaboration de la Charte de la Transition. L’ex-Alliance des Partis politiques de la majorité, l’ex-Chef de file de l’Opposition politique, l’ex-opposition non affiliée et les « autres Partis ».
Selon leur porte-parole, Eddie KOMBOIGO, la classe politique a suivi les différentes déclarations qui précisent clairement qu’aujourd’hui le pays vit actuellement une guerre. « Nous sommes donc venus ce matin apporter le soutien de la classe politique, notamment les 4 composantes ayant pris part à la conception de la Charte de la Transition et encourager le Chef de l’Etat, surtout parce que nous savons que la tâche n’est pas facile », a-t-il expliqué.
Eddie KOMBOIGO a également indiqué que le souhait des partis politiques reste la récupération de l’ensemble du territoire, la réinstallation des populations dans leur localité avec le fonctionnement des services administratifs et sociaux minimum et un approvisionnement des produits de première nécessité dans « des conditions dignes ».
« Le Chef de l’Etat nous a exposé la situation combien difficile avec de plus en plus de résultats encourageants sur le terrain, laissant espérer une fin, bientôt de cette guerre à notre profit. C’est-à-dire que nous allons vaincre le terrorisme. C’est pourquoi nous sommes venus l’encourager et le soutenir », a conclu le porte-parole des quatre composantes de la classe politique burkinabè.
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